En ce mardi 8 décembre 2009, j’ai reçu un appel intriguant et combien fort apprécié de la part de Yannis Tremblay, chargé de comptes sénior chez Activis, une entreprise ayant ses bureaux à Beloeil. Le sujet de l’appel? Le voici en version courriel :
Monsieur Brassard,
Activis tenait à vous remercier pour votre citation (et le lien) [de Jean Michel Arseneau] fait dans le cadre de votre article PORTE-PAROLE EN OR. Le billet était fort intéressant et nous apprécions toujours ce type de papier à la fois intelligent et pertinent. Nous allons continuer à vous suivre !
Vous pouvez certainement imaginer ma surprise! Les limites que je connaissais du Web 2.0 venaient une fois de plus d’être franchies! Nous connaissons l’étendue des possibilités dans cet univers social qu’Internet nous offre, ou peut-être nous ne les connaissons pas, justement. Vous est-il déjà arrivé de penser que le Web 2.0 pouvait permettre l’échange humain?
Plusieurs analystes et grands penseurs de la « chose » imaginent la vie du future des citoyens et ne voient trop souvent qu’une vie robotisée, une vie remplie de tâches et d’actions effectuées du bout du doigt avec un appareil sophistiqué, éliminant ainsi tout contact humain entre individus. Et si ce n’était pas ça… Si, au contraire, les liens créés grâce aux réseaux sociaux étaient renforcés de telle sorte que les hommes et les femmes se fréquentent et échangent davantage qu’aujourd’hui? Peut-être sommes-nous et serons-nous que des néophytes jusqu’à l’ère suprême du Web! D’ici là, nous avons encore beaucoup de connaissance à acquérir.
Merci Yannis pour cette réflexion. Je ne m’en porte que mieux!
À mon sens, la grande force du web 2.0, c’est de remettre le contact humain au centre des priorités.
Ce n’est pas pour rien que les réseaux sociaux sont si puissants : à défaut de pouvoir toucher les autres concrètement, on veut les connaître et entendre ce qu’ils ont à nous dire, en même temps qu’on veut exister pour eux. C’est un peu ça qui vous est arrivé : Activis existait, et maintenant, vous existez pour Activis et pour Yannis Tremblay.
Les réseaux sociaux permettent à ce phénomène de se produire en version exponentielle. Oh, que non, le web 2.0 n’est pas près de mourir!
Au plaisir! : )
Tout est dans l’utilisation !
Les réseaux sociaux ont cette faculté de donner une impression de proximité. Je crois que c’est à des acteurs comme nous tous de rendre cette proximité réelle et tangible.
C’est bien parti !
Yannis
Yannis